Martine Harraca, une artiste francaise connue au Japon
Yumi Nakano aka Mireille
(Martine Harraca took her first steps on a beach of Normandy, then she crossed the channel and studied at the British Royal Academy..)
ECRIT AVEC L"AIDE D'INTERNET
A la conquête du monde A 23 ans, Martine Haracca franchit l'océan pour arpenter les avenues new-yorkaises. Elle se fait rapidement repérer par le célèbre décorateur, David Barrett. Il organise pour elle, sa toute première exposition sur l’île de Fire Island.
Pour l’occasion, il accroche les toiles aux arbres, dispose les tableaux sur des decks dans de somptueuses maisons en bois face à l’océan. Toutes les toiles sont vendues dans l’après midi.
L’exposition remporte un grand succès auprès des décorateurs et directeurs de galeries et Village-Voice titre "One French Girl has one man Show".
Lors de son retour en France, ses œuvres sont accueillies aux Salon des Indépendants et Salon d’Automne. Le galeriste André Weil organise une exposition dans sa galerie, avenue Matignon.
A 25 ans, Martine Harraca part pour l’Espagne. Elle découvre, dans le ciel de Madrid, de grands rouleaux aux puissantes couleurs qui lui rappellent à nouveaux le rythme des vagues. Elle aime ce pays, cette péninsule chaude, et décide d’y peindre. La période espagnole de Martine Harraca est un temps d’épanouissement et de recherche artistique : elle épure son style, refuse tout compromis, toute amabilité, le tableau est construit sans aucune ligne superflue. Le résultat est puissant et poétique. Il y a dans toutes ses toiles une obsession de la profondeur, comme un voyage dans l’espace.
Elle innove les supports, recherche de nouveaux horizons. Elle peint sur de grandes surfaces en aluminium. Ces « Muraux » sont présentés à la Galerie Kreisler Dos de Madrid dans une exposition de 600 M². Nouveau succès, le Ministère de la Culture Espagnole la retient comme l’une des dix meilleures expositions de l’année.
Les commandes affluent des quatre coins du monde. Elle réalise des « muraux » pour la Société Générale ; le Club Financier d’Espagne, le grand architecte italien Olivieri… A Paris, l’hebdomadaire américain, News Week, inaugure ses bureaux avec une exposition Harraca.
Martine Harraca rentre en France en 1980. Elle travaille avec les groupes Péchiney et Saint Gobain et voit son destin basculer par une rencontre ...
Une rencontre chimique, le renouveau des matières Cette même année, Martine Harraca fait une autre rencontre décisive, celle de Charles Roehl, ingénieur chimiste américain. Il aime la présence de son art dans la vie quotidienne, elle aime sa sensibilité et sa connaissance des matières. Ensemble, ils inventent, ils innovent, transforment.
Ses sculptures deviennent lampes.
Les grands muraux, une fois fragmentés, sont des sets de présentation utilisés dans les dîners officiels du roi du Maroc et à la Banque Mondiale de Washington.
Les minis sculptures prennent la forme de broches que Nina Ricci nomme "broche voile".
Martine Harraca désire faire lire ses oeuvres à l’horizontal, ce sont les tables de Péchiney.
Elle travaille la longueur et crée un paravent de six mètres de long pour le musée Jacquemart André.
L’artiste peint des plaques de verre, dans une symphonie de bleus et de mauves et les assemblent pour former un grand tapis.
Elle crée une table en verre, des sets en verre acrylique piqué de diamants, des coupes de Lalique en cristal dans lesquelles flotte, sur une eau bleutée, un bijoux en résine transparent qui se balance comme une algue.
Grâce à Charles Roehl, Martine Harraca découvre de nouvelles matières alliant transparence et possibilité d’être sculptées à la main. Raül Chavarri, critique espagnol parle d’une « Alchimie et renouveau des matières ».
Poudre d’or, d’argent, d’aluminium, sable et cailloux, pigments mélangés, Martine Harraca, comme tous les grands créateurs, cherche inlassablement des mélanges pour voler à la nature ce qu’elle a de plus secret.
LAHC-March 2009
Henri Matisse, Carol Burke, Aka Charlotte
Henri Matisse -1869-1954 -
Les jeunes années d’Henri Matisse
Henri Matisse était le fils d’un marchand de grains. Il est né la veille de la nouvelle année 1869 (31 décembre).
Comme Pablo Picasso, Henri Matisse était considéré un génie, mais il n’a pas commencé à peindre très tôt. Il était étudiant à la Faculte de Droit à Paris quand il a découvert sa vocation comme artiste. Quand Henri est resté à la maison avec l’appendicite, sa mère lui a donné une boite de peinture et Henri a découvert sa passion.
Quand Matisse est retourné à Paris en 1890, il a suivi des cours à l’Académie Julian. Il espérait réussir l’examen pour entrer à l’Ecole des Beaux-arts. La première fois il n’a pas réussi. Donc Matisse est allé à l’Ecole des Arts décoratifs ; une amitié s’est créée entre Henri Matisse et Albert Marquet. Finalement en 1895, tous les deux ont passé leur examen et ils ont été acceptés à l’Ecole des Beaux -arts et ils ont étudié dans l’atelier du célèbre peintre Gustave Moreau
Pendant l’été de 1895, Matisse a voyagé en la Bretagne avec Emile Wery. Ils ont regarde d’œuvre des impressionnistes. Henri est empli d’enthousiasme. Il a adoré les couleurs prismatiques et l’utilisation de la lumière. On peut voir l’influence importante des impressionnistes comme Camille Pissarro dans « La table de diner », lequel Henri Matisse a peint en 1896. « La table de diner » était exposée au salon de la Société nationale des Beaux-arts en 1897. Son professeur a défendu « La table de diner » attaquée par les critiques.
Gustave Moreau n’a pas toujours compris l’œuvre de Matisse, mais Moreau était certain que Matisse avait beaucoup de talent.
L’année suivante Henri Matisse a quitté l’Ecole des Beaux -arts. Il s’est marié avec Amélie Noellie Alexandrine Parayre. de Toulouse. Ils sont allés en voyage de noce à Londres Il a voulu regarder les peintures de JMW Turner.
Apres Londres, ils sont allés en Corse. C’était là que Matisse est tombé amoureux du « Sud ». Il a peint beaucoup de paysages intérieurs (des Intérieurs) et des natures mortes. La lumière de la méditerranée était avec des couleurs et un nouvel éclat.
En automne, Matisse et sa femme ont déménagé à Toulouse
Ses deux fils sont nés à Toulouse; mais en 1900 sa famille est retournée à Paris. Pour la plupart du temps, sa vie était difficile
Pendant qu'Henri a fait de l’art, madame Matisse a travaille dans sa boutique de chapeau.
Quand Matisse a essaye retourner a l’Ecole des Beaux-arts, il était refusé d’admission parce qu'il a plus de 30 ans. Son professeur Gustave Moreau n’était plus là.
Donc Matisse est retourné à l’Académie Julian
En plus de l’Académie Julian, Matisse est allé visiter les vieux musées et les galeries d’art moderne. Il a connu les autres artistes comme André Derain et Maurice de Vlaminck
En 1905, Matisse, Derain, et Marquet ont exposé leurs œuvres au Salon d’automne Immédiatement après il y avait une grande controverse. Leurs couleurs étaient sauvages. Un critique les a appelés « les Fauves » !
La peinture « La femme au chapeau » était un rejet de la palette des impressionnistes. Beaucoup de gens ont détesté les peintures de Matisse, mais les célèbres industriels et collectionneurs, Gertrude Stein et son frère Michael, ont transformé les choses. Ils ont acheté les peintures (les tableaux) de Matisse et des autres artistes aussi. Les Steins ont encouragé leurs amis de faire de même.
Un autre fauve(tableau) de Matisse s’est appelé « La raie verte »; il était un portrait de Mme Matisse.
Les couleurs étaient aussi tumultueuses, mais la beauté de sa femme ne pouvait être cachée, Il n’a pas voulu peindre un portrait ordinaire. Il a voulu peindre des zones avec couleurs contrastees et des lignes rythmique. Ces idées sont évidentes dans ses paysages, aussi. Matisse a cru en son métier, dès le début avec sa peinture; « La joie de vivre » qui était exposée au salon des Indépendants en 1906 en ateste.
Encore Matisse a agacé, encore colère et controverse et encore les Steins ont acheté la peinture. Les Steins ont cru que c’était l’œuvre la plus importante de Matisse.
Chez les Steins on pouvait voir « La joie de vivre » suspendue a la meilleure place. Tout le monde pouvait aller y contempler des œuvres comme celles de Pablo Picasso et d' autres artistes et des gens d’avant-garde. En mai 1906 Henri Matisse a voyage en Algérie pour deux semaines.
Il a dit: « On se rendre compte qu' il serait nécessaire d’être dans de tels pays pendant de nombreuses années, on y trouverait toujours une nouvelle chose et en plus on ne peut pas venir et utiliser sa propre palette et sa propre méthode ».
Matisse n’a pas peint son souvenir de Biska (Biska est en Algérie) jusqu’il est retourne a Collioure. En réalité le titre de cette peinture s’appelle : « La nuit bleue ». Quand Matisse est retourné a Biska il a ramené beaucoup d’objets d’art, qu’ il a fréquemment utilises dans sa peinture. Il a beaucoup aimé l’art de la Perse et de l’islam. On peut y voir cette influence dans ses peintures : les tapis orientaux, l’Odalisque en pantalon rouge. Les décorations ont exprimées l’esprit et l’âme de la peinture d’Henri matisse.
LAHC-May2009
II --Henri Matisse, les années de maturité
Les peintres allemands comme Hans Purrman et Oskar Moll ont adoré Henri Matisse. Ils ont pensé que Matisse était le meilleur artiste de son époque. Ils l’ont encouragé à créer une académie d’art.
De 1907 à 1909, Matisse a enseigne a peu près 60 étudiants. Mais il avait un grand problème ;, il n’avait plus assez de temps pour travailler pour lui-même.
Il a décidé de fermer son atelier. Il n’avait pas voulu être professeur. Maintenant il pouvait enfin créer et peindre sans entrave.
Malgré la charge de son atelier, il a peint beaucoup de chef d’œuvres comme « Luxe I »« L’harmonie en rouge » et « la danse I ».
Henri Matisse a obtenu un grand succès et il est devenu un homme très riche.
En 1909 Serguei Schukin, un collectionneur russe a commandé deux panneaux muraux ( un dyptique) « La danse II » et « La Musique ». Aujourd’hui « La danse I » est installée au Moma a New York et « La danse II » a l’Hermitage, a st Petersburg. Nous pouvons y voir l’influence de l’art persan, spécialement dans les couleurs. « La danse » est très célèbre par son mouvement et l’émotion qu’elle dégage.
« La danse I » et « II » expriment la joie de vivre. « La musique » a aussi cinq personnages en rouge, mais ils sont immobiles et isolés. Ils sont disposés comme des notes de musique sur la page.
D’abord Matisse a voyagé à Berlin pour étudier l’expressionnisme allemand et puis il est allé au Maroc. Il a trouve la lumière au Maroc différente de celle du sud de la France. Ses peintures « Paysage du Maroc » et « La nature morte avec les oranges » montrent bien la différence.
Quand Henri Matisse est retourne en France et il a travaille a Paris. En 1914 la première guerre mondiale éclate, Matisse quitte Paris et est allé s’installer a Toulouse. La guerre a eu un effet sur son œuvre. Les peintures sont devenues plus géométriques. Les couleurs plus sombres comme dans « Fenêtre française a Collioure ».
LAHC Juillet 2009
Vincent Van Gogh
Yumi Nakano Aka Mireille
From New York Times (May 2009)
Van Gogh’s Missing Ear: Was Gauguin the Culprit?
Compiled by Dave Itzkoff
Published: May 5, 2009
Two German art historians are challenging the legend of Vincent van Gogh’s ear, saying that the Dutch painter, top, did not slice off his left ear in a fit of madness but that he concocted the tale to protect Paul Gauguin, above, who cut off van Gogh’s ear with a sword, The Daily Telegraph of London reported. In a new book, “Van Gogh’s Ear: Paul Gauguin and the Pact of Silence,” Hans Kaufmann and Rita Wildegans say that van Gogh invented the story that his wound was self-inflicted to protect Gauguin, who they say attacked van Gogh during an argument as the two painters walked the streets of Arles, France. The historians also say that van Gogh’s suicide in 1890 was a result of his anguish over his falling out with Gauguin.
GAUGUIN ACCUSE D'AVOIR COUPE L'OREILLE DE VAN GOGH
Deux historiens d'art allemands en sont venus à affirmer dans un essai publié au début du mois de mai 2009 que Vincent Van Gogh ne s'était pas coupé volontairement l'oreille lors d'une dispute avec Paul Gauguin le 23 décembre 1888 mais qu'au contraire, ce serait ce dernier qui lui aurait donné un coup de sabre au visage pour le mutiler de cette manière
Ainsi donc, la légende du peintre maudit aurait été bâtie sur une contre-vérité mise sur le compte de la démence de Van Gogh et alimentée de la sorte durant des décennies.
La folie de Van Gogh avait été ainsi exploitée dans les années 1930, notamment par Antonin Artaud et Georges Bataille qui l'avait définie comme fondamentale pour l'art moderne, mais selon Hans Kaufmann et Rita Wildegans, deux historiens de Hambourg, cette automutilation n'aurait jamais eu lieu.
Dans leur essai de 392 pages intitulé « L'oreille de Van Gogh, Paul Gauguin et le pacte du Silence » (Osburg Verlag éditeur), les deux universitaires ont affirmé que ce fut en réalité Gauguin qui lui porta un coup de sabre lors de cette fameuse dispute. Emmené à l'hôpital le lendemain, Van Gogh aurait préféré ne rien dire pour protéger ce dernier en acceptant donc de passer pour fou.
Traité d'hypocrite par les auteurs de cet essai, Gauguin, qui aurait jeté son sabre dans le Rhône, était rentré précipitamment à Paris juste après avoir subi un interrogatoire plutôt sommaire de la police. Plus tard, dans son livre de souvenirs titré « Avant et après », Gauguin avait indiqué que la dispute avec Van Gogh avait porté sur des différences de vues au sujet de questions artistiques, notamment à propos d'un tableau que Vincent avait peint à son instigation sur une toile de jute et qu'il considérait comme raté. De fil en aiguille, la dispute s'était envenimée et Gauguin en avait eu assez en manifestant son intention de partir, ce qui avait exaspéré Van Gogh qui voyait ainsi son rêve de créer un nouveau phalanstère d'artistes à Arles se briser brutalement.
Menacé d'un couteau, Gauguin avait préféré battre en retraite et passer la nuit ailleurs alors que Van Gogh se serait coupé l'oreille dans un accès de rage avant de l'envelopper dans du papier journal et de la confier à une prostituée pour aller ensuite se coucher. Telle fut la version qu'il livra dans son livre mais en reprenant le rapport de la police et les témoignages indirects fournis tardivement , les deux historiens en ont conclu que la dispute aurait en fait été déclenchée à propos d'une femme et que Gauguin aurait éprouvé longtemps des remords pour son geste jusqu'à peindre un jour des Tournesols sur un fauteuil, un hommage rendu à Van Gogh moins anodin qu'il n'avait semblé paraître.
Pour l'instant, les responsables du Musée Van Gogh n'ont pas adhéré à cette thèse, pourtant jugée intéressante pour la commissaire de l'exposition consacrée à Bâle aux paysages de Vincent et où les deux historiens viendront la présenter le 17 juin 2009.
Pour Hans Kaufmann, il n'y eut pas de témoin direct de la dispute ni même une enquête approfondie au sujet de ce qui s'était vraiment passé. Apparemment, les deux peintres avaient caché la vérité car le scénario de la dispute aurait été différent. Ainsi, Gauguin, excédé par Van Gogh qui le suppliait de rester à Arles, aurait fait tournoyer son sabre au dessus de la tête de ce dernier pour lui couper l'oreille sans qu'on puisse néanmoins savoir si ce geste fut volontaire ou accidentel. Les deux hommes se seraient alors accordés pour se taire et Van Gogh aurait ainsi inventé cette histoire d'automutilation pour protéger Gauguin Il est vrai que Vincent avait commencé par avoir à Arles un comportement bizarre, tantôt amorphe, tantôt coléreux, ce qui pourrait s'expliquer par une intoxication due au plomb contenu dans les tubes de peinture. A la suite de cette fameuse dispute, Van Gogh aurait pris le parti de ne rien révéler au sujet de ce malencontreux coup de sabre du fait que son admiration l'égard de Gauguin aurait été sans bornes. S'il avait dit la vérité, ce dernier aurait été condamné à une peine d'emprisonnement alors qu'il se serait évité d'être interné dans un asile de fous. Bref, tout aurait été différent. Gauguin n'aurait vraisemblablement pas été s'exiler du côté de Tahiti pour y finir une existence solitaire et Van Gogh aurait peut-être surmonté la terrible dépression dont il avait été affecté suite à cet incident pour ne pas ensuite mettre fin à ses jours, ce qui fait que l'histoire aurait changé du tout au tout. Toutefois, il n'en reste pas moins qu'il a été souvent bien tentant pour des petits malins de vouloir réécrire l'histoire dans le but de faire sensation et de gagner au passage pas mal d'argent.
En attendant, quand bien même cette théorie du coup de sabre pourrait paraître tentante, il resterait des questions plutôt pertinentes, sinon pernicieuses, à poser. Van Gogh avait notamment l'habitude de correspondre avec son frère Théo pour lui raconter souvent en détail ce qu'il faisait. Donc, il n'aurait pu s'empêcher de lui écrire une lettre pour lui indiquer, n'aurait-ce été qu'en termes voilés, qu'il ne s'était pas lui-
même coupé l'oreille. Or, il n'y eut bizarrement aucune allusion allant dans ce sens dans les lettres que Vincent adressa à Théo. Par ailleurs, en l'hébergeant chez lui à Auvers-sur-Oise, le docteur Gachet avait été vraisemblablement tenté de lui demander le comment et le pourquoi de son oreille mutilée et dans ce cas, il semble douteux que Vincent aurait pu continuer à rester muré dans le silence. En conclusion, la théorie des deux historiens d'art allemands risquera de trouver de nombreux détracteurs qui refuseront d'admettre autre chose que la version plus réaliste d'un geste de désespoir de la part de Van Gogh qui avait été déçu de voir que Gauguin ne voulait nullement répondre à ses attentes….A suivre…
LAHC May 2009
Rhea Lewitzki aka Odile
Il y a quelques années que j’ai découvert Henri Toulouse-Lautrec via un petit ami. Il m’a montré le tableau Le lit celui qui est connu avec les amants dans le lit, le couvre-lit cachant leurs visages et masquant leurs identités. Je pensais toujours que ce couple ressemblait à moi et mon petit ami. J’adorais cette peinture-là pendant quelques années, jusqu`á ce que je visite Paris et je découvre plus de tableaux de Toulouse-Lautrec et ses sujets. Ce jour-là quand j’ai vu Le lit au Musée d’Orsay j’ai fondu en larmes. C’était parfait, il avait capturé tout l’amour que j’avais ressenti.
Un jour à Paris je me promenais au bord de St. Germain et je me suis arrêtée à un magasin qui vendait des bouquins et des cartes-postales. Sur le trottoir, dans une boite
d’affiches, j’ai trouvé une petite peinture que j’ai reconnue, elle était dans la ligne du Le lit, les couleurs pastel avec les lignes fortes, la technique du pinceau, et les personnages—j’ai reconnu leurs visages! Donc j’ai su que c’était Toulouse-Lautrec. Elle était intitulée Le Baiser. Plus tard je l’ai recherchée en ligne. J’ai découvert qu’elle est une des trois peintures du même thème: deux femmes dont Toulouse-Lautrec était tombé amoureux, comme personnages, sans doute! Donc, il y a Le Lit, Le Baiser, et la troisième, une peinture mystérieuse que je n’ai pas encore découverte. Aussi, il y a des complications avec les titres, il y a Le lit, Le lit, le baiser, et Dans le lit, le baiser.
C’est très déroutant! Donc, j’ai hâte de la voir un jour.
LAHC Aout 2010
Par aka Celestine
Né le 21 mai 1844 à Laval et décédé le 2 septembre 1910 à Paris, était un peintre français,
généralement considéré comme représentatif des peintres naïfs
Il était un peintre Post impressionniste dans le style appelé Fauves ou Primitifs.
Il fut surnommé le « Douanier Rousseau » par Alfred Jarry, à cause de son emploi. Bien qu’il ait été ridiculisé pendant sa vie, plus tard il a été identifié comme un génie autodidacte
Il était né à Laval dans la Loire
Bien qu’il ait gagné des prix, au Lycée pour son travail artistique, il n’a commencé à peindre sérieusement qu’à son 40 eme anniversaire et à 49 ans il a pris sa retraite pour peindre à plein temps ou se consacrer totalement à sa peinture.
Ses peintures les plus célèbres incluent, comprennent :
La bohémienne endormie 1897
Le rêve 1910
Le lion ayant faim se jette sur l’antilope 1905
Il est mort le 2 décembre 1910
LAHC, aout 2010
(July 10, 1834 – July 17, 1903) was an American-born, British-based artist
Alan Amstrong aka Jean
James McNeill Whistler était un peintre américain actif pendant la dernière moitié du dix neuvième siècle
Il est né en 1834, la même année qu’Edgar Degas.
Il est partit des Etats Unis en 1855 à l’âge de vingt et un ans pour ne jamais y revenir.
Il a passé le reste de sa vie en Angleterre, France et Italie.
Whistler est bien connu pour ses portraits, le plus fameux a le titre de « Arrangement en noir et gris est aussi intitulée « La mère de Whistler », qui est accroché dans le Musée du Louvre, ou au Musée d’Orsay a Paris.
Il est fameux aussi pour ses effets de nuit, ou en anglais « Nocturnes » par exemple Nocturne en bleu et or - le Vieux Pont de Battersea 1872-1875, huile sur toile, 67,9 x 50,8, Tate Gallery, Londres.
Ses gravures faites a Londres et a Venise sont comparées, par quelques personnes, a celles de Rembrandt
Oscar Wilde était un ami de Whistler, mais plus tard Whistler a cru que Wilde lui volait ses idées artistiques.
On raconte qu’après avoir entendu un bon mot de Whistler, Wilde aurait dit :
« J’espère avoir dit cela », ce a quoi Whistler aurait répondu :
« Je vous en prie, Oscar, prenez, prenez ! ».
LAHC,aout 2010
Par Dr Gladi Adams aka Michelle
Il était ne en Hollande en 1853 et est mort en 1890.
Il était très sensible et n’avait pas confiance en lui. Apres avoir exercé plusieurs métiers et divorcé par deux fois, il décidait de devenir artiste. Il était fameux, célèbre pour ses couleurs. Il était ou avait été influencé par les Impressionnistes.
Il partait souvent et finalement est allé à Arles, en Provence. Il travaillait de longues heures sur ses tableaux, mais il était très malade avec des problèmes psychologiques. Ses amis comme Paul Gauguin par exemple venait à Arles où Van Gogh habitait. Leur amitié était houleuse parce que Van Gogh ne dormait pas et il travaillait toutes la journée. Van Gogh va se couper l’oreille (se trancher le lobe de l’oreille) avec un rasoir au cours d’une altercation avec Gauguin. Il est allé dans un hôpital psychiatrique à Saint-Rémi. En 1888 il allait a Auvers-sur-Oise et deux mois plus tard il se suicidait en se tirant une balle.
Il n’a pas vendu un seul tableau de son vivant.
Mon tableau préféré est : « Nuit étoilées »
LAHC October 2010